Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

cultures, villes et paysages de l'Oriental

25 août 2006

Folklore de l'Oriental, Said Rami


Said _ Rami _Hnina_Reggada 2006
Vidéo envoyée par simofes
Publicité
15 août 2006

Dailymotion blogged videocheb rayan___rimaVidéo


cheb rayan___rima
Vidéo envoyée par rai-man
13 août 2006

Hamid Bouchenak


Hamid_Bouchna9_La3fouu
Vidéo envoyée par simofes
13 août 2006

Dailymotion blogged videocheb haninoVidéo envoyée


cheb hanino
Vidéo envoyée par rai-man
26 juillet 2006

Exposition : Un demi-siècle de peinture à Assilah , participation d'un ahfirien

Une importante exposition, regroupant sept peintres, se déroule du 4 au 31 août dans le cadre du 28e Moussem culturel international d¹Assilah. Intitulée «Différence et pérennité», la manifestation réunit les ¦uvres des peintres Saad Ben Cheffaj, Abdelbassit Bendahman, Mohamed Bennani, Mahi Binebine, Mohamed Hamidi et Mohammed Melehi et l'ahfirien Mostapha Boujemaoui.

Cette exposition ambitionne de donner à voir les tendances picturales qui ont marqué le Maroc depuis l¹indépendance jusqu¹à ce jour. À l¹exception de la peinture dite naïve, les principaux acteurs des expressions dominantes dans peinture marocaine sont représentés.

L'art contemporain est présenté à travers les oeuvres de Mostapha Boujemaoui qui est né en 1952 à Ahfir. Les ¦uvres de cet artiste constituent la meilleure passerelle entre la peinture et l¹art contemporain.
Abstraction géométrique, abstraction lyrique, semi-figuration, figuration et art contemporain sont donnés à voir à Assilah.
Rarement une exposition aura atteint une telle densité, en couvrant un demi-siècle de peinture au Maroc.

D'après Al Bayane,

Publicité
7 mai 2006

Oujda : Panel de réflexion sur "Oujda city center : l'ambition d'une capitale régionale"

OUJDA (MAP) - L'Agence de développement de l'Oriental (ADO) accueillera, du 07 au 12 mai courant à Oujda, un panel international de réflexion sur la requalification urbaine du centre ville sous le thème "Oujda City Center : l'Ambition d'une capitale régionale".

Cette réflexion sera centrée sur la réalisation d'un nouveau centre urbain à Oujda destiné à créer une dynamique de renouvellement et de requalification de la ville à partir de la friche ferroviaire de la gare actuelle (environ 50 Ha), située en centre ville. Ce panel verra la participation de plusieurs architectes-urbanistes venant de Hollande, de France, de Suisse, d'Espagne et de Grande Bretagne ainsi que de plusieurs de leurs homologues marocains de Rabat, Casablanca et Oujda.

Le programme du panel porte sur "l'aménagement urbain", "les infrastructures", "les secteurs socio-économiques", "les corps universitaires", "la société civile", "les médias" et des ateliers consacrés à l'étude de cas nationaux et internationaux, avec la participation de nombreux organismes privés, administrations et établissements publics concernés par ces thèmes, en plus d'autres invités.

Map, le 04 mai 2005

19 avril 2006

Figuig : énorme potentiel touristique, mais inexploité.

FIGUIG (MAP) - La ville de Figuig, où vient d'être organisé un premier Festival international des Oasis (15-16 avril), avec la participation de troupes de chansons et danses folkloriques de Zagoura, Tata et de province de Figuig, ainsi que d'une troupe saoudienne des arts populaires, en plus de la présence de partenaires d'Allemagne, de France et de l'Institut français de l'Oriental (Oujda), a vécu ainsi deux grandes soirées artistiques (samedi-dimanche), qui se sont agréablement passées, tout en révélant aussi que la cité posséde un énorme potentiel touristique, mais qui reste toutefois inexploité.

Ce constat sur les potentialités touristiques de la ville est relevé à travers les différents tableaux sectoriels exposés par le conseil municipal, à l'occasion de ce Festival, organisé par le Ministère de la culture, en coopération avec ledit conseil. Ces potentialités s'annoncent de prime abord par cette vaste palmeraie qui, avec ses 190.000 pieds environ, s'offre comme une vaste mer verte, s'étendant sur 600 hectares et contrastant, magnifiquement, avec sa position de porte du désert. Cette Oasis, dont le palmier dattier constitue le pivot de l'économie locale, avec en vedette la variété appréciable dite "Aziza" (vert en langue tamazight), n'est pas sans évoquer les nombreuses sources (une trentaine) qui l'alimentent avec un débit total de 175 L/S, distribués par un ingénieux système de captage et d'irrigation pour économiser l'eau et sur lequel veille un gérant dit "Sraifi".

La cité s'enorgueillit aussi de ses sept ksours et ses demeures séculaires avec 14.000 habitants, ornementés par des plants dattiers et autres oliviers, comme de ses monuments historiques, architecture et matériaux locaux défiant chaleur et averses (dont un minaret datant de l'époque de la dynastie Mérinide, tours d'observation..) et racontant son passé, notamment de carrefour de commerce caravanier transsaharien, jadis prospère.

Tous ces éléments, auxquels s'ajoutent d'admirables crêtes et montagnes rocheuses dominant la ville, des rivières, des dunes de sables et une station thermale (tijemmaline) avec autre richesse faunistique et climat semi-désertique, seront autant d'atouts qui pourraient intéresser les amateurs de dépaysement, de détente et d'exotisme dans cette contrée, située à 370 km à l'extrême sud-est d'Oujda, à la frontière avec l'Algérie.

Figuig garde également une certaine tradition en matière d'artisanat, concurrencé certes par des produits industriels, mais où les tissages (burnous, jellaba...) résistent et occupent une importante main d'oeuvre féminine au foyer. Certaines étoffes de laine du genre courtepointes de lit très fines se vendent même très cher dans des villes de berberie, telles Fès et Tlemcen, selon des exposants locaux.

Et c'est vers ce créneau de l'artisanat en général et du tourisme en particulier que semblent se tourner les regards en tant qu'activités à développer en complément à celles existantes (palmier dattier, agriculture, élevage bovin), pour ainsi maintenir l'équilibre ou remédier au déséquilibre d'écosystème, généré notamment par la croissance démographique et donc l'apparition de nouveaux besoins. Sollicité à propos des conclusions tirées de ce Festival, le délégué régional du ministère de la culture à Oujda, M. Kaddouci, a souligné que malgré le désistement de certains pays invités (Koweit, Libye...), il s'agit d'un premier pas réussi qui a permis la mise en relief des potentialités locales et la communication entre les différentes facettes de la culture populaire oasienne du Sud-Est marocain, avec la participation des troupes folkloriques de Tata, Zagoura et Figuig et a suggéré l'idée de création d'un centre de documentation pour l'ancrage et la préservation de ce patrimoine populaire spécifique, en plus de la nécessité de contribution de chercheurs et experts en les oasis par des propositions allant dans ce sens.

M. Kaddouci, qui s'est félicité de la grande affluence du public figuigui lors des soirées artistiques organisées à cette occasion, a mis l'accent, justement, sur l'impérieuse nécessité pour les milieux concernés d'oeuvrer pour combler le besoin notoire constaté en matière d'infrastructures touristiques requises pour la promotion du produit touristique, et donc économique de la région, surtout dans une perspective de programmations de circuits "FADESA" depuis la grande station balnéaire de Saidia.

MAP, 18/04/2006

16 avril 2006

Cuisine marocaine:Fatéma Hal

Ses savoureuses recettes n’ont plus rien de secret, puisqu’elle a consacré de nombreux ouvrages à la cuisine marocaine. En revanche, le secret de son inépuisable vitalité reste un mystère. Le 28 mars, Fatéma Hal (48 ans) est à Paris : elle donne une conférence de presse à l’ambassade du Maroc pour annoncer le programme de la troisième édition du Festival d’art culinaire de Fès (28-30 avril), qu’elle dirige. Le 4 avril, elle est à Casablanca, pour la même raison. Le 9, de retour à Paris, elle présente au Jardin d’acclimatation son dernier ouvrage, Le Grand Livre de la cuisine marocaine (éd. Hachette). Le 13, à l’Institut du monde arabe, elle animera un débat sur le thème « Cuisine traditionnelle et gastronomie moléculaire ».

La réussite de Fatéma Hal est d’autant plus méritoire qu’elle a dû surmonter un triple handicap : être femme, immigrée et d’origine modeste. Native d’Oujda, elle est arrivée en France à l’âge de 17 ans. Licenciée en littérature arabe (Paris-VII), elle suit des cours d’ethnologie à l’École pratique des hautes études. S’ensuit une période de précarité : chômage et petits boulots. Bravant les préjugés et les difficultés, elle devient conseillère d’Yvette Roudy au ministère des Droits de la femme, puis, en 1984, ouvre un restaurant, le Mansouria. Succès immédiat. Peu à peu, elle s’impose dans ce milieu très masculin et très français qu’est la gastronomie. « La cuisine est un monde d’hommes en Occident et un monde de femmes en Orient », explique-t-elle. Encore fallait-il réussir à la faire sortir des foyers, où elle a été longtemps confinée.

Aujourd’hui, Fatéma présente des émissions sur Cuisine TV, organise des événements et donne des conférences dans le monde entier. En 2003, elle a lancé une gamme d’épices commercialisée dans de nombreux pays. Dans les rayons des grands magasins, ses produits prennent désormais place aux côtés de ceux de Bocuse, Lenôtre et Robuchon. Et comme elle a toujours un projet sur le feu, elle mijote actuellement son prochain livre : La Cuisine amoureuse et érotique des 1001 nuits. On en salive déjà.

Jeune Afrique, le  9 avril 2006 - par YASMINA LAHLOU

16 avril 2006

Oujda : création prochaine de cinq nouveaux musées

Oujda : création prochaine de cinq nouveaux musées

Cinq musées seront créés dans un proche avenir à Oujda, a affirmé lundi le wali de la région de l'Oriental, gouverneur de la préfecture d'Oujda-Angad, M. Mohamed Brahimi, ajoutant qu'un festival annuel de musique du Rai est également prévu dans la région.

PHOTO: Une vue de la ville d'Oujda.

Lors d'une rencontre avec la presse à l'occasion d'une manifestation culturelle organisée par l'association rencontres pour l'éducation et la culture sur le thème "Al Mawalid nabaoui dans la région de l'Oriental : notre patrimoine, notre richesse", M. Ibrahimi a indiqué que le premier musée prévu porte sur l'Histoire naturelle de la région et vise à mettre en relief son potentiel dans les domaines des mines, des grottes et de la structure géologique. D'un montant de deux millions de dirhams, ce projet sera bientôt lancé.

Le deuxième musée concerne les arts modernes (plastiques, sculpture) et comprendra un espace pour expositions.
S'agissant du 3ème musée, il sera abrité par "l'école Charcot" construite en 1908 et sera le premier musée de l'école marocaine. Cette école sera réhabilitée avec la contribution de bienfaiteurs, qui, pour la plupart, y avaient étudié.

Le 4ème musée sera celui de la résistance qui sera créé au siège de l'Etat-major construit par le colonisateur au début de l'occupation d'Oujda et dont les crédits sont réunis.
Le musée national des chemins de fer est le cinquième projet prévu dans la ville d'Oujda. Celui-ci sera créé à la première gare ferroviaire à Hay "Coulouche", qui remonte aux années 1940.

"Vendre la région"

Il est de même question de la création d'un musée des mines dans l'une des villes minières de la province de Jerada (Jerada, Touissit ou Boubker) et d'un musée d'électricité, probablement à l'ancienne station thermique d'Oujda, dont les structures sont encore en bon état.

Outre le lancement des travaux d'achèvement du projet du complexe culturel municipal, bloqué depuis deux décennies, d'autres projets culturels sont envisagés, dont l'aménagement de la Kasbat de Saidia et de "Dar Es-Sâda", ancienne demeure du premier résident général français à Oujda (pour un coût de 1 million de dirhams).

Il s'agit également d'aménager une école à Ain Beni Mathar, créée au début de l'occupation de la région, en plus de démarches visant la classification de certains monuments en tant que patrimoine national ou universel, tels les ksours de la ville de Figuig.
Une manifestation de musique rai sera organisée au cours de l'année à Oujda, mais le festival proprement dit aura lieu l'année prochaine après achèvement des préparatifs par une agence spécialisée.

M. Brahimi a souligné que des artistes de talents ont exprimé leur disposition à participer à ce festival, qui contribuera à faire connaître la ville sur le plan mondial et sera l'occasion de présenter aussi les chansons bédouines et gharnati de l'Oriental, en plus de conférences culturelles et scientifiques.

Tous ces projets permettront, a dit M. Brahimi, non seulement de refléter le potentiel et la culture de la région et sa promotion, mais de "vendre la région" qui dispose d'importantes potentialités d'autant plus que le volet culturel doit être, de nos jours, dans la même locomotive avec d'autres facteurs de développement global, pourvu que l'animation culturelle soit le fait de la société, d'où la nécessité de la présence populaire dans toute manifestation culturelle.

MAP, le 11/4/2006

2 avril 2006

Les frères Bouchnak

Publicité
1 2 > >>
cultures, villes et paysages de l'Oriental
  • l'Oriental ; région du Nord Est marocain, disposant de nombreux atouts naturels, et favorable pour le développement du tourisme, se caractérise par la plage de Saidïa longue de 14 km de sable fin et doré.La montagne de Béni-Snassen présente un beau paysage
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Derniers commentaires
Archives
Publicité